Nous avions déjà communiqué sur ce sujet dans un billet du 19 décembre 2018.
Après avoir perdu en justice en décembre contre 6 salariés, Gemalto n’aura pas l’élégance d’admettre son erreur! Gemalto fait appel de la décision.
Pour les ~1100 autres salariés concernés, le délai de prescription est de 3 ans et se termine mi mars 2019.
Pour ceux qui ont perdu entre 1500 et 3500€ en 2016, c’est le moment de s’inscrire pour ne pas passer le délai de prescription.
La démarche est ultra simple.
Il s’agit juste d’agir à travers une démarche simple pour éviter la prescription.
Vos élus ont ouvert la voie : c’est maintenant à vous de montrer votre détermination.
Démarche : 2 choses très simples à faire avant le 31 janvier si possible :
- Envoyez un email à l’adresse suivante emauger@maugermesbahi.com avec
- Scan des éléments suivants
- Carte d’identité ou passeport avec date et lieu de naissance
- Contrat de travail et avenants précisant le pourcentage de GIP
- 12 bulletins de paie mars 2015 a Mars 2016
- Evaluation de la part manquante réclamée (voir calculette ici)
- objet « Gemalto GIP 2016/ <Votre nom>
- Faites passer à un représentant du personnel, un chèque de 60€ à l’ordre de SELARL MAUGER MESBAHI ASSOCIES,
Maître Emmanuel MAUGER déposera ensuite le dossier au greffe du Conseil des Prud’Hommes.
Ainsi, la prescription ne pourra plus tomber et vous pourrez attendre serein, la fin de la procédure d’appel. A cette date Maître MAUGER joindra vos demandes aux dossiers existants pour récupérer les sommes.
FAQ
Qui est concerné ?
Tous ceux qui devaient toucher un GIP en 2016
C’est quoi ?
Une procédure qui vous permet de défendre vos droits et récupérer votre dû
Ça coûte combien ?
60 €uros TTC + 10% des sommes récupérées.
Ça rapporte quoi potentiellement ?
Variable puisque % de votre salaire (calculette ici) mais de l’ordre de quelques milliers d’€uros
Comment faire ?
Rien de compliqué ! Suivre les instructions ici (quelques documents à fournir)
Quand ?
Dans les faits avant fin février 2019
Ça va m’obliger à quoi après ?
Rien ! La démarche suivra son cours sans que n’ayez à vous en préoccuper.
Quels sont les risques pour mon job ?
Vous défendez vos droits, récupérez l’argent dont Gemalto (votre futur ex employeur) vous a spolié en 2016. Rien à l’égard de votre futur nouvel employeur (Thales)